Les mots-croisés de la Grande Guerre à l'Arrière

4. École de Juvisy-sur-Orge transformée en “hôpital auxiliaire de l’Association des Dames de France” (HAADF n°250).
5. Les communes de l’Arrière en ont souffert. Elle se caractérise par la rareté et le manque.
7. Ils sont au service de l’État et de la Patrie.
10. En temps de guerre, territoire ou ensemble des populations se trouvant en dehors de la zone de combat.
11. Mainmise sur les biens. Effort national.
12. Gueules-cassées.
13. On y signe l'Armistice.
15. Ils ont fait de nombreux dégâts à Athis-Mons et à Corbeil-Essonnes dans la nuit du 22 mai 1918.
17. Gare très importante pour le transport durant la guerre. Elle se situe en banlieue.
19. Dite “ferme des mutilés”, lieu de convalescence et de rééducation des blessés par le travail agricole situé à cheval sur Savigny-sur-Orge et Juvisy-sur-Orge. C'est aussi une région viticole française.

1. Installés dans les maisons, les fermes et les écoles de l’Arrière on y accueille les blessés.
2. Nuisibles des villes. Ils se faufilent dans les tranchées.
3. On dit qu'ils sont des amis. Dressés notamment à Juvisy, ils aident à retrouver les blessés sur le front.
5. Attachement sentimental à sa nation se manifestant par la volonté de la défendre, de la promouvoir.
6. En hommage aux morts, ils se situent souvent dans les cimetières ou proches des mairies.
8. Elles fabriquent des armes dans l’usine Bellanger d’Athis-Mons.
9. Célèbre bataille. Elle traverse trois régions françaises.
10. On dit qu’ils sont des “ Oiseaux de l’air ”. À Viry-Châtillon, la Maison des Oiseaux les accueille durant leur convalescence.
14. Matériel de guerre comprenant les canons, obusiers, etc. Les canons de 75, emblématiques de la Première Guerre mondiale, en sont un exemple.
16. On en fabrique dans les usines essonniennes durant la Grande Guerre. Ils sont de différents calibres.
18. Nombreuses en banlieue, ce sont les lieux de l’industrie.